FTP connection failed
Creating directory /var/www/alternc/p/paix/dokuwiki/data/cache/f failed
FTP connection failed
Creating directory /var/www/alternc/p/paix/dokuwiki/data/cache/f failed
FTP connection failed
Creating directory /var/www/alternc/p/paix/dokuwiki/data/cache/f failed
Writing /var/www/alternc/p/paix/dokuwiki/data/cache/f/f859948f187596e4ba4e1942608cd367.i failed
FTP connection failed
Creating directory /var/www/alternc/p/paix/dokuwiki/data/cache/f failed
Writing /var/www/alternc/p/paix/dokuwiki/data/cache/f/f859948f187596e4ba4e1942608cd367.xhtml failed

L'ENTRAIDE

Les Evacuations
<< Précédente <<
SOMMAIRE La Libération
>> Suivante >>


Dès le début de la guerre, des associations de solidarité et de sinistrés apparaissent à Brest, à côté de la Croix-Rouge déjà existante.Tout d’abord, le Secours National (né le 29 mai 1915 et revitalisé en octobre 1939) ; son siège est au 43, rue Emile Zola. Il doit faire face à de multiples situations : · demande des sinistrés, réfugiés et évacués. · ravitaillement des vieillards et infirmes qui refusent de partir. · secourisme de base au coeur des bombardements. Dès mai 1941, il met en place l’abri du Sinistré au 14 rue Jean Macé (ancien cours Fénelon) où 50 lits sont prêts en permanence pour les sinistrés. On note aussi la création du Comité Ouvrier de Secours Immédiat, né en mars 1942 et de l’Association des Auxiliaires de la Défense Passive. A la Libération, le Secours National devient l’Entraide Française. Elle a un rôle important à Brest où elle secourt 19670 familles. Elle participe à la construction de baraquements, d’un foyer ouvrier, d’une école ménagère, d’un centre d’accueil... Elle est dissoute le 1er mai 1949.ea0.jpg

L’adoption de Brest par la Ville de Lyon

Le 4 décembre 1941, le Conseil municipal de Lyon, à la suite d’une démarche de son Eminence le Cardinal Gerlier, Primat des Gaules, archevêque de Lyon, décidait à l’unanimité d’adopter la ville de Brest. Cette décision faisait suite à une initiative de M. le Chanoine Courtet, curé de Saint-Louis de Brest, approuvée par Mgr Duparc, évêque de Quimper et par M. Eusen, président de la Délégation Spéciale de Brest. Dès janvier 1942, M. Villers, alors Maire de Lyon, venait apporter à la population brestoise l’assurance de la sympathie de ses citoyens et en même temps remettait un premier million pour parer aux besoins les plus urgents des sinistrés. Peu après, une souscription recueillait à Lyon, en moins de huit jours, un million cent mille francs supplémentaires. Un double comité était alors créé à Lyon et à Brest pour la distribution des secours tant en espèces qu’en nature. Des centaines d’enfants brestois séjournèrent dans des familles lyonnaises pendant plusieurs années. A différentes reprises la ville de Lyon reçut des délégations officielles de la ville de Brest. D’autre part, M. le professeur Bertrand qui avait succédé à M. Villers comme Maire de Lyon, accompagné de quelques-uns de ses collaborateurs et Son Eminence le Cardinal Gerlier se rendirent à Brest pendant ces années tragiques pour apporter aux malheureuses populations de la ville et de son agglomération les encouragements de leurs concitoyens.ea1.jpg

ea2.jpgea3.jpgea4.jpgea5.jpgea6.jpg

Les Evacuations
<< Précédente <<
SOMMAIRE Haut de page La Libération
>> Suivante >>


Divers

-->
 
uep/l_entraide.txt · Dernière modification: 2006/12/31 13:48 par dusanka
 
Université Européenne de la Paix
1 Rue de l'Harteloire - 29200 Brest - FRANCE
Tel : +33(0) 2.98.46.51.52 - Fax : +33 (0)2.98.43.14.65
Email: uep@infini.fr
Site hébergé par Infini


Recent changes RSS feed Creative Commons License Donate Powered by PHP Valid XHTML 1.0 Valid CSS Driven by DokuWiki Charte des Sites Sans Pub